top of page

95 résultats trouvés avec une recherche vide

  • Ad Res ConseiL : BREGER ORGANISATION SERVICES - BOS reprend ENDYMION LOGISTIQUE pour renforcer sa position stratégique

    Photo lors de la cession : Anthony BATTAGLIA (à gauche), Vincent LESAGE (à droite) Eté 2025, BREGER ORGANISATION SERVICES - BOS , présidée par Vincent LESAGE , reprend la société ENDYMION LOGISTIQUE , dirigée par Anthony BATTAGLIA , basée à SERRE-LES-SAPINS (25), et spécialisée dans l’affrètement et l’organisation de transports. Fondée en 2019, ENDYMION LOGISTIQUE  s’est imposé comme un acteur reconnu dans le secteur de l’affrètement et de l’organisation de transport, en proposant des solutions de logistique sur mesure à destination des professionnels. Spécialisée dans l’affrètement routier et l’optimisation des retours logistiques, l’entreprise conçoit et met en œuvre des solutions de transport sur mesure, intégrant des outils collaboratifs innovants pour répondre aux enjeux économiques et environnementaux de ses clients. En 2024, ENDYMION LOGISTIQUE  a réalisé un chiffre d’affaires de 3 millions d’euros . ENDYMION LOGISTIQUE s’apprête à entamer un nouveau chapitre sous la direction du Groupe BOS . Vincent LESAGE  est le président directeur général du Groupe BOS , ETI indépendante à rayonnement européen, qui exerce une activité d’organisateur et de transporteur de marchandises.  Fort de plus de 70 ans d’expertise, le Groupe BOS  a évolué du transporteur à l’organisateur de transport de premier plan  tout en conservant ses capacités routières propres, en s’appuyant sur des outils informatiques avancés et une démarche RSE volontaire. Le groupe réalise un chiffre d’affaires de 172 M€ et emploie 900 collaborateurs en France, en Espagne et au Portugal.  L’opportunité proposée par ENDYMION LOGISTIQUE  s’inscrit pleinement dans la stratégie de développement du groupe en soutenant ses objectifs de diversification client et d’expansion géographique. Elle contribuera par ailleurs à accroître les volumes d’activité tout en renforçant l’efficacité logistique. LES INTERVENANTS SUR CETTE OPÉRATION : CÔTÉ CÉDANT : Avocats – MAZARS BOURGOGNE FRANCHE COMTE / Maitre Alan BOUTINE, Maitre Florian RODRIGUEZ, Maitre Benjamin LEVY Expert-comptable - MAZARS BOURGOGNE FRANCHE COMTE / Latif ERGIN Conseil Vente : Ad Res ConseiL / Céline REMONDIN, Pierre PEYRET   CÔTÉ REPRENEUR : Avocat – SOCIETE JURIDIQUE DU MAINE / Maitre Olivier BOISSEAU CHARTRAIN Expert-comptable – RSM OUEST / Delphine LEMONNIER LEFEVRE

  • Ad Res ConseiL accompagne la cession de STOPP, reprise par Baptiste CHOQUENET

    Photo lors de la cession avec de gauche à droite : Baptiste CHOQUENET, Stéphane WANNYN, Janine WANNYN, Dominique WANNYN Printemps 2025, Baptiste CHOQUENET reprend la société STOPP TECHN OUTILL PLASTIQUES , dirigée par Janine WANNYN et Stéphane WANNYN . L’entreprise, basée à TRAPPES (78), est spécialisée dans le négoce de produits et équipements industriels à destination des professionnels. Fondée en 1976, STOPP s’est imposé comme un acteur de référence dans la distribution de solutions techniques à destination des professionnels de l’industrie des matériaux composites.  L’entreprise commercialise une large gamme d’outils et consommables pour la transformation des matériaux composites, tels que notamment des colles industrielles, des outils de découpe et des solutions d’assemblage. En 2024, STOPP a réalisé un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros  avec un effectif de six personnes. La société compte aujourd’hui près de 500 clients actifs, évoluant dans des secteurs à haute technicité : aéronautique, nautisme, ferroviaire, automobile, défense, médical, maroquinerie, sport, mode ou encore BTP. Une part importante de cette clientèle est récurrente, signe de la qualité du service et de la confiance établie au fil des années. STOPP s’apprête à ouvrir un nouveau chapitre sous la direction de Baptiste CHOQUENET . Baptiste CHOQUENET , de formation ingénieur et commercial, a plus de 10 ans d’expérience en stratégie, optimisation opérationnelle et développement de sociétés. Cette transmission s’inscrit dans une volonté de continuité et de développement pérenne. Baptiste CHOQUENET entend consolider le portefeuille clients existant, renforcer l’offre de services et explorer de nouveaux marchés industriels, tout en s’appuyant sur l’expertise historique des équipes de STOPP . LES INTERVENANTS SUR CETTE OPÉRATION  : CÔTÉ CÉDANT : Avocat : Enthémis / Maître Jerome PETRIGNET Expert-comptable - FARJOTS GOUSSEAU ET ASSOCIES / Paul LHOSTIS Conseil Vente : Ad Res ConseiL / Pierre PEYRET CÔTÉ REPRENEUR : Avocat – Wire Avocats / Maître Florian MARI / Maître Geoffrey MALAUSSENA Expert-comptable - RETOUT AUDIT & CONSEIL / Jean-Paul RETOUT

  • Cession de TOP FINANCE à MOONSHOT !

    Eté 2024 , la société TOP FINANCE , spécialisée en formation dans le secteur de la finance, vendue à l’entreprise MOONSHOT de Anne-Sophie CHELBAYA et Jean Benoit GAMBET . TOP FINANCE est spécialisée dans la formation professionnelle et propose des préparations aux principales certifications dans les domaines de la finance, comptabilité et audit. Ces certifications sont clés pour certains métiers de la finance. La société dispense des cours en présentiel, en distanciel, en e-learning. L’équipe est dynamique, agile et jeune, et possède une approche client reconnue. Les intervenants sont des professionnels certifiés et expérimentés utilisant des supports pédagogiques reconnus pendant les formations. L'entreprise intervient majoritairement en France avec une présence dans les pays européens, et, un enseignement en anglais et en français.

  • Cession des sociétés JEAN MICHEL GUILLEMOT TRAITEUR et L’ORECEPTION !

    Eté 2024, JEAN MICHEL GUILLEMOT TRAITEUR et L’ORECEPTION , sociétés de traiteur évènementiel et de boucherie-charcuterie vendues à un couple de repreneurs. JEAN MICHEL GUILLEMOT TRAITEUR et L’ORECEPTION sont spécialisées dans les activités suivantes : Réception Traiteur, Location de Matériel, Mise à disposition de personnel, Boucheries et Charcuteries. En 2023, JEAN MICHEL GUILLEMOT TRAITEUR et l’ORECEPTION ont réalisé un chiffre d’affaires de plus de 5 000 000 € . Le groupe s'appuie sur un réel savoir faire et a mis en place une organisation lui permettant de couvrir des évènements accueillant jusqu'à 5 000 personnes et plus. Ses équipes formées et qualifiées, sont composées de : Cuisiniers, Pâtissiers, Bouchers, Charcutiers, Traiteurs, Maîtres d’hôtel, Chefs de rang, Serveurs, Plongeurs, Employés, . . .

  • La transition numérique post-2021 : enjeux et opportunités pour les entreprises

    La transition numérique est un enjeu majeur pour les entreprises depuis plusieurs années maintenant. Avec l'accélération du rythme des innovations technologiques, cette transformation devient de plus en plus cruciale pour rester compétitif. Cet article se penchera sur les principales conséquences de cette transition numérique pour les entreprises, dans la période post-2021. Les tendances de la transition numérique post-2021 Plusieurs tendances se sont renforcées dans la transition numérique des entreprises au cours des dernières années. On peut notamment citer : L'automatisation : De plus en plus de processus et de tâches sont automatisés grâce aux nouvelles technologies, permettant de gagner en efficacité et en productivité. L'intelligence artificielle, la robotique et l'apprentissage automatique sont au cœur de cette automatisation. La numérisation de la chaîne d'approvisionnement : La digitalisation des différentes étapes de la chaîne logistique (commande, suivi, livraison, etc.) permet une meilleure visibilité et une plus grande agilité pour les entreprises. La transformation numérique des services : Les entreprises repensent leurs offres et leurs interactions avec les clients en s'appuyant sur le numérique (applications mobiles, services en ligne, etc.). Ces tendances ont un impact majeur sur l'organisation et les processus des entreprises, les obligeant à revoir en profondeur leur façon de travailler. Les avantages de la transition numérique post-2021 pour les entreprises La transition numérique post-2021 apporte de nombreux bénéfices aux entreprises qui savent s'en saisir : Gains d'efficacité et de productivité : L'automatisation de certaines tâches répétitives permet de libérer du temps et des ressources pour se concentrer sur des activités à plus forte valeur ajoutée. Amélioration de l'expérience client : La digitalisation des services et l'omni canal permettent de mieux répondre aux attentes des clients, en leur offrant plus de flexibilité et de personnalisation. Exemples de réussites : Plusieurs entreprises ont su tirer parti de la transition numérique pour se démarquer. On peut citer des entreprises dans tous les domaines d’activités qui ont grâce au numérique complétement changé leur mode de fonctionnement. Les défis de la transition numérique post-2021 pour les entreprises Bien que porteuse d'opportunités, la transition numérique post-2021 n'en reste pas moins un défi de taille pour de nombreuses entreprises : Complexité et coûts élevés : La mise en place des nouvelles technologies peut s'avérer coûteuse et techniquement complexe, nécessitant des investissements importants. Résistance au changement : Les transformations organisationnelles et culturelles induites par la transition numérique peuvent se heurter à des réticences de la part des collaborateurs. Exemples de défis : La société XYZ a par exemple rencontré des difficultés pour former ses équipes logistiques à l'utilisation des nouveaux outils, tandis que la société ABC a dû revoir complètement son modèle d'affaires pour intégrer sa nouvelle application mobile. Les stratégies pour réussir sa transition numérique post-2021 Pour relever ces défis, les entreprises doivent s'appuyer sur des stratégies éprouvées : Planification : Une réflexion approfondie sur les objectifs, les priorités et les moyens à mettre en œuvre sont essentielles pour assurer la réussite de la transition numérique. Formation et accompagnement des équipes : L'implication et l'adhésion des collaborateurs sont cruciales. Il faut donc prévoir des programmes de formation et d'accompagnement adaptés. Collaboration avec des partenaires externes : Le recours à des experts et à des fournisseurs spécialisés peut grandement faciliter la mise en œuvre de la transformation numérique. Conseils pratiques : Définir un plan de transition par étapes, impliquer les équipes dans la réflexion, s'appuyer sur des cas de réussite, sont autant de bonnes pratiques à mettre en place. La transition numérique post-2021 représente à la fois un défi majeur et une opportunité unique pour les entreprises de se réinventer et de se différencier. En s'appuyant sur les bonnes stratégies, elles peuvent tirer parti des innovations technologiques pour gagner en efficacité, en productivité et en attractivité auprès de leurs clients. L'enjeu est désormais de passer à l'action et de saisir ces opportunités. Références Étude McKinsey "The digital enterprise post-COVID-19" (2021) Article Harvard Business Review "Succeeding in the post-pandemic world" (2022) Livre "La transformation numérique des entreprises" de Pierre Audoin (2020) Mots-clés Transition numérique, post-2021, automatisation, numérisation, transformation digitale, stratégie, entreprises, productivité, expérience client.

  • Comment préparer au mieux les rencontres avec vos futurs acquéreurs

    Lorsque vous envisagez de céder votre entreprise, les rencontres avec les futurs acquéreurs potentiels sont des moments clés pour négocier les meilleures conditions possibles. Voici cinq conseils pour vous aider à préparer au mieux ces rencontres : Définissez votre stratégie de cession Avant de rencontrer des acquéreurs potentiels, il est important de définir clairement votre stratégie de cession. Quels sont vos objectifs en termes de prix, de calendrier et de conditions de cession ? En ayant une vision claire de vos attentes, vous pourrez mieux évaluer les offres des acquéreurs potentiels et prendre une décision éclairée. Préparez un dossier complet Les acquéreurs potentiels auront besoin d'accéder à des informations détaillées sur votre entreprise pour évaluer son potentiel. Préparez un dossier complet, incluant les états financiers, les contrats clients et fournisseurs, les brevets et les marques déposées, les plans stratégiques et les prévisions de croissance. Assurez-vous que cette documentation est à jour, claire et facilement compréhensible. Anticipez les questions des acquéreurs Les acquéreurs potentiels auront probablement de nombreuses questions sur votre entreprise. Anticipez ces questions en préparant des réponses claires et concises. Soyez prêt à expliquer les forces et les faiblesses de votre entreprise, ainsi que vos plans pour l'avenir. N'hésitez pas à faire appel à un conseiller en cession d'entreprise pour vous aider à préparer ces réponses. Faites bonne impression Les rencontres avec les acquéreurs potentiels sont des moments clés pour créer une première impression positive. Soyez professionnel, ponctuel et préparé. Présentez-vous sous votre meilleur jour et montrez que vous êtes sérieux et engagé dans le processus de cession. Faites une présentation claire et concise de votre entreprise Lors de la première rencontre, les acquéreurs potentiels voudront en savoir plus sur votre entreprise. Préparez une présentation claire et concise qui met en avant les points forts de votre entreprise, son historique, son marché, sa clientèle, ses produits ou services, et ses perspectives de croissance. Cette présentation doit être suffisamment détaillée pour donner une idée précise de l'entreprise, mais suffisamment synthétique pour ne pas noyer l'acquéreur potentiel sous une avalanche d'informations. Soyez transparent sur les points faibles de votre entreprise Il est important d'être transparent sur les points faibles de votre entreprise, car les acquéreurs potentiels les découvriront tôt ou tard. Si vous êtes honnête et transparent dès le début, cela renforcera la confiance que les acquéreurs auront en vous. Expliquez comment vous comptez résoudre ces problèmes et quels sont les plans d'action que vous avez mis en place pour y remédier. Préparez des réponses aux questions les plus fréquentes Les acquéreurs auront probablement des questions récurrentes sur des sujets tels que la rentabilité de l'entreprise, sa structure de coûts, sa concurrence, sa clientèle, etc. Préparez des réponses claires et précises à ces questions pour gagner du temps et montrer que vous avez réfléchi à ces sujets. Soyez ouvert aux suggestions et aux feedbacks Les acquéreurs potentiels auront sûrement des suggestions et des feedbacks à vous donner sur votre entreprise. Soyez ouvert à ces suggestions et à ces feedbacks, même s'ils sont parfois difficiles à entendre. Cela vous permettra de mieux comprendre les attentes des acquéreurs et d'adapter votre approche en conséquence. Établissez une relation de confiance avec les acquéreurs potentiels La vente d'une entreprise est une décision importante qui nécessite une relation de confiance entre le cédant et l'acquéreur. Établissez une relation de confiance avec les acquéreurs potentiels en étant transparent, honnête et professionnel. Montrez que vous êtes engagé dans le processus de vente et que vous êtes prêt à travailler en étroite collaboration avec l'acquéreur pour assurer une transition réussie. Négociez avec confiance Les rencontres avec les acquéreurs potentiels sont également l'occasion de négocier les termes de la cession. Soyez ouvert aux suggestions et aux compromis, tout en gardant à l'esprit vos objectifs de cession. N'hésitez pas à faire appel à un conseiller en cession d'entreprise pour vous aider à négocier les meilleures conditions possibles. En suivant ces conseils, vous serez mieux préparé pour rencontrer les acquéreurs et négocier les meilleures conditions possibles pour la cession de votre entreprise. N'oubliez pas que la préparation est la clé du succès, alors prenez le temps de préparer soigneusement vos rencontres avec les acquéreurs potentiels.

  • Les critères à prendre en compte pour évaluer la situation financière d'un repreneur

    Lors de la cession d'une entreprise, l'analyse approfondie de la situation financière du repreneur est une étape cruciale. Elle permet au cédant de s'assurer de la capacité du candidat à reprendre l'entreprise et à en assurer la pérennité. Quels sont les principaux critères à examiner ? La capacité d'endettement Un des éléments clés à évaluer est la capacité d'endettement du repreneur. Autrement dit, sa capacité à emprunter les fonds nécessaires à l'acquisition de l'entreprise. Cela implique d'analyser ses ressources propres (épargne, biens immobiliers, etc.), son accès au crédit bancaire et sa marge de manœuvre en termes d'endettement. Par exemple, si le repreneur dispose d'un patrimoine immobilier important, il pourra envisager de contracter un emprunt hypothécaire pour financer une partie de la reprise. De même, ses relations privilégiées avec des établissements bancaires pourront faciliter l'obtention de crédits à des conditions favorables. Le cédant devra notamment s'assurer que le niveau d'endettement du repreneur reste compatible avec la situation financière de l'entreprise cédée et sa capacité future à générer des bénéfices. La solvabilité La solvabilité du repreneur, c'est-à-dire sa capacité à honorer ses engagements financiers, est un autre critère essentiel. Cela passe par l'analyse de ses revenus, de ses charges et de sa trésorerie disponible. Par exemple, si le repreneur est salarié dans une autre entreprise, le cédant pourra vérifier le niveau de ses revenus et la stabilité de son emploi. S'il est déjà chef d'entreprise, l'examen de ses comptes et de sa situation de trésorerie sera primordial. Cette évaluation permettra de s'assurer que le repreneur dispose de ressources suffisantes pour supporter le poids du financement de la reprise, sans mettre en péril la pérennité de l'entreprise cédée. La liquidité La liquidité du repreneur, autrement dit sa capacité à transformer rapidement ses actifs en liquidités, est également un critère à prendre en compte. Cela concerne notamment ses placements financiers, son épargne, ses biens immobiliers, etc. Par exemple, si le repreneur dispose d'un patrimoine diversifié, composé d'actifs liquides (actions, obligations, etc.) et d'actifs moins liquides (immobilier), cela démontrera sa disposition à mobiliser rapidement des fonds pour financer la transaction. Cette flexibilité financière est un gage de sécurité pour le cédant, qui s'assure ainsi que le repreneur pourra faire face à d'éventuels imprévus. L'expérience financière Enfin, l'expérience financière et de gestion du repreneur est un élément essentiel. Ses compétences en matière de comptabilité, de gestion de trésorerie, de négociation bancaire, etc. seront déterminantes pour assurer la pérennité de l'entreprise. Par exemple, si le repreneur a déjà dirigé une entreprise par le passé, il pourra s'appuyer sur son expérience pour gérer efficacement les aspects financiers de la reprise. À l'inverse, un repreneur novice devra s'entourer d'experts-comptables, de banquiers et de conseillers pour l'épauler dans ces domaines. En examinant attentivement ces différents critères, le cédant se donne les moyens d'évaluer avec précision la situation financière du repreneur et sa capacité à mener à bien la reprise de l'entreprise.

  • Comment préparer son entreprise pour une évaluation ?

    Lorsque vous vous apprêtez à vendre ou transmettre votre entreprise, il est primordial de bien la préparer à une évaluation approfondie par les investisseurs potentiels. Voici les principales étapes à suivre pour optimiser cette préparation : Consolider la situation financière La première étape consiste à assainir et à consolider la situation financière de l'entreprise. Cela passe par un examen minutieux des états financiers sur plusieurs années (3 à 5 ans généralement) afin d'identifier et de corriger d'éventuelles faiblesses. Par exemple, l'entreprise peut avoir un endettement trop élevé qu'il faudra réduire, ou des stocks obsolètes qu'il faudra écouler. Le dirigeant doit aussi s'assurer que la comptabilité est parfaitement fiable et transparente, en faisant auditer ses comptes par un expert-comptable indépendant. Cela permettra de rassurer les investisseurs sur la qualité et la sincérité des informations financières. Valoriser les actifs stratégiques L'entreprise doit ensuite recenser et valoriser ses actifs incorporels stratégiques, qui représentent souvent une part importante de sa valeur. Il peut s'agir de marques, de brevets, de savoir-faire, de bases de données clients, de réseaux de distribution, etc. Un audit patrimonial approfondi, réalisé par des experts, permet d'identifier et de quantifier ces actifs clés. Par exemple, une entreprise de cosmétique aura intérêt à valoriser la notoriété et l'image de sa marque, tandis qu'une société de services valorisera son capital humain et son expertise. Optimiser les processus opérationnels Pour rendre l'entreprise attractive, le dirigeant doit également veiller à l'optimisation de ses processus opérationnels. Cela comprend notamment la gestion des ressources humaines (organigramme clair, politique de rémunération et de formation attractive, etc.), les procédures de contrôle interne (suivi des coûts, gestion des stocks et des délais, etc.), la maîtrise des chaînes logistiques, etc. L'objectif est de démontrer la robustesse du modèle d'affaires et sa capacité à générer de la valeur de manière pérenne. À titre d'illustration, une entreprise de distribution aura intérêt à optimiser ses processus d'approvisionnement et de livraison pour gagner en compétitivité. Clarifier la gouvernance et le management Un autre point essentiel est la clarification de la gouvernance et du management de l'entreprise. Le dirigeant doit s'assurer que les rôles et responsabilités de chacun sont bien définis, que les processus de prise de décision sont efficaces, et que l'équipe de direction est solide et stable. Cela peut passer par la mise en place d'un comité de direction formalisé, d'un conseil de surveillance, ou encore par le renforcement de certains postes clés. Les investisseurs accordent en effet une grande importance à la qualité du management pour assurer la pérennité de l'entreprise. Préparer les documents clés Enfin, le dirigeant doit rassembler l'ensemble des documents et des informations susceptibles d'intéresser les investisseurs potentiels : business plan détaillé, organigramme, contrats commerciaux et de travail, de baux, autorisations administratives, etc. Ces documents doivent être parfaitement à jour et cohérents. Comme le dirigeant devra s'assurer que les contrats clients et fournisseurs sont valides et conformes, que les autorisations d'exploitation sont en règle, etc. En amont de toute évaluation, cette préparation minutieuse permet de valoriser au mieux l'entreprise, de rassurer les investisseurs et de faciliter les négociations. Elle contribue également à accélérer le processus de cession ou de transmission.

  • Cession partielle d'entreprise : enjeux, modalités et impacts

    La cession partielle d'entreprise est une option de plus regardée par les chefs d'entreprise, qu'il s'agisse de préparer une transmission future, de financer le développement ou de répondre à des enjeux de gouvernance. Quels sont les principaux avantages et inconvénients de cette opération ? Quelles sont les modalités à prendre en compte ? Les motivations d'une cession partielle Plusieurs raisons peuvent pousser un chef d'entreprise à céder une partie de son capital : Préparer la transmission de l'entreprise En transmettant progressivement une partie de ses parts, le cédant peut faciliter la transition vers la nouvelle génération de la famille tout en gardant un contrôle partiel. Financer le développement de l'entreprise L'entrée d'un nouvel actionnaire permet de disposer de nouvelles ressources financières pour soutenir la croissance de l'entreprise. Répondre à des enjeux de gouvernance Une cession partielle peut permettre de faire évoluer la gouvernance de l'entreprise, en ouvrant le capital à des investisseurs extérieurs. Diversifier son patrimoine personnel Pour le cédant, la cession partielle représente aussi une opportunité de diversifier son patrimoine en monétisant une partie de sa participation. Les modalités d'une cession partielle La cession partielle d'entreprise peut prendre différentes formes juridiques : Cession de titres à un tiers Le cédant vend une partie de ses parts sociales ou de ses actions à un nouvel investisseur (personne physique ou morale). Augmentation de capital avec entrée d'un nouvel actionnaire L'entreprise émet de nouvelles parts ou actions pour accueillir un nouvel actionnaire au capital. Holding de reprise Le dirigeant crée une holding qui acquiert une participation majoritaire dans sa société opérationnelle. Quel que soit le montage juridique retenu, la cession partielle doit faire l'objet d'une attention particulière sur les plans juridique, fiscal et financier. Les conséquences pour l'entreprise La cession partielle d'entreprise à des impacts significatifs qu'il convient d'anticiper : Gouvernance et répartition du pouvoir L'entrée d'un nouvel actionnaire implique de revoir la gouvernance de l'entreprise (conseil d'administration, comité de direction, etc.) et la répartition du pouvoir de décision. Organisation et culture d'entreprise L'arrivée d'un nouvel actionnaire peut induire des changements dans l'organisation, les process et la culture de l'entreprise. Relation entre associés La coexistence entre l'ancien et le nouvel actionnaire doit être encadrée de manière précise, à travers des pactes d'actionnaires adaptés. Fiscalité et transmission D'un point de vue fiscal, la cession partielle doit être optimisée, notamment en prévision d'une transmission ultérieure de l'entreprise. Face à ces enjeux, il est essentiel de se faire accompagner par des experts (avocats, experts-comptables, consultants, fiscalistes) pour sécuriser l'opération dans sa globalité.

  • Aspects fiscaux de la cession d'entreprise : optimiser la charge fiscale du cédant

    La cession de votre PME/PMI est une opération complexe, qui soulève de nombreuses questions d'ordre fiscal. Comment seront imposées les plus-values réalisées ? Quelles sont les stratégies d'optimisation envisageables ? Décryptage des principaux enjeux et conseils pour minimiser votre charge fiscale. Les régimes d'imposition applicables Lors de la cession de votre entreprise, plusieurs régimes d'imposition sont susceptibles de s'appliquer : Plus-values professionnelles Les plus-values réalisées sur la cession de vos parts sociales ou actions sont en principe imposables au titre des plus-values professionnelles. Le taux d'imposition varie selon la durée de détention de vos titres. Bénéfices non commerciaux (BNC) Si vous exercez votre activité sous un régime fiscal de type BNC (entreprise individuelle, auto-entrepreneur, etc.), les résultats de la cession seront attendus dans cette catégorie. Impôt sur le revenu Les produits de la cession peuvent également être soumis à l'impôt sur le revenu, dans la catégorie des revenus concernés et attention de bien renseigner les bonnes cases. Stratégies d'optimisation fiscale Face à cette charge fiscale potentiellement élevée, plusieurs solutions d'optimisation sont envisageables : Réinvestissement dans une nouvelle activité Sous certaines conditions, il est possible de différer l'imposition des plus-values professionnelles en réinvestissant le produit de la cession dans une nouvelle entreprise. Report d'imposition Pour les cessions réalisées à compter du 1er janvier 2019, le cédant peut opter pour un report d'imposition, en étalant l'imposition de ses plus-values sur plusieurs années. Transmission à titre gratuit (donation, succession) En cas de transmission familiale de l'entreprise, il est possible de bénéficier d'exonérations ou d'abattements fiscaux spécifiques. Cas particuliers et points de vigilance Certaines situations peuvent présenter des particularités et nécessiter une attention accrue : Cession partielle d'entreprise Transmission d'une entreprise individuelle Plus-values sur titres de participation Situation des dirigeants-cédants (rémunération, départ à la retraite, etc.) Dans tous les cas, il est essentiel de vous faire accompagner par des experts ou un fiscaliste aguerri, qui sauront vous conseiller et vous guider pour optimiser votre charge fiscale.

  • Due diligence lors de la cession d'entreprise : un processus incontournable pour sécuriser la transaction

    Lorsque vous décidez de céder votre TPE ou PME/PMI, la phase de due diligence - ou audit préalable - devient une étape incontournable pour sécuriser la transaction. Bien plus qu'une simple formalité, ce processus minutieux permet d'identifier les risques et d'en assurer la maîtrise dans le cadre de la cession. Objectifs et périmètre de la due diligence La due diligence vise à réaliser un examen approfondi et objectif de l'entreprise, dans le but d'en évaluer précisément la situation réelle et d'en déterminer la valeur. Elle couvre généralement les principaux aspects suivants : Situation juridique (contrats, litiges, conformité réglementaire, etc.) Situation financière et comptable (comptes, trésorerie, fiscalité, etc.) Aspects sociaux et RH (effectifs, conventions collectives, risques prud'homaux, etc.) État des actifs corporels et incorporels (immobilier, brevets, marque, etc.) Positionnement commercial et opérationnel (clients, fournisseurs, processus, etc.) Cette analyse approfondie permet ainsi d'identifier les forces, les faiblesses et les zones de risque de l'entreprise. La due diligence se déroule généralement en plusieurs phases : Collecte et analyse des informations clés sur l'entreprise Identification et évaluation des risques Négociation des clauses contractuelles de garantie et d'indemnisation Rédaction du rapport de due diligence final Ce processus permet ainsi à l'acquéreur de disposer d'une vision précise et fiable de l'entreprise cible afin de prendre une décision éclairée sur la transaction. Le rôle et les responsabilités des différents acteurs La due diligence mobilise plusieurs parties prenantes : L'acquéreur, qui diligente et finance le processus Le cédant, qui fournit les informations et les documents nécessaires Des experts indépendants (avocats, experts-comptables, consultants, etc.) chargés de l'analyse Chacun a un rôle essentiel à jouer pour garantir le succès de la due diligence : Le cédant doit assurer une transparence totale et fournir des informations fiables Les experts doivent mener leurs investigations de manière rigoureuse et impartiale L'acquéreur doit s'appuyer sur leurs conclusions pour prendre ses décisions. Le cédant et l’acquéreur doivent ensuite échanger et décider de la suite à donner. Un gage de sécurité pour le cédant Au-delà de la protection des intérêts de l'acquéreur, la due diligence constitue également un gage de sécurité pour le cédant. En effet, elle contribue à sécuriser la transaction et à limiter les risques de contentieux ultérieurs. N'hésitez donc pas à vous impliquer pleinement dans cette étape cruciale, en collaboration étroite avec vos conseils. Cela vous permettra de mener à bien la cession de votre entreprise dans les meilleures conditions.

  • Valorisation d'entreprise : les méthodes et indicateurs clés pour déterminer le juste prix de vente

    Lorsque vous envisagez de céder votre TPE ou PME/PMI, la question de la valorisation de votre entreprise devient primordiale. Quel est le juste prix de vente qui reflète fidèlement la valeur de votre outil de travail ? Quels sont les principaux leviers à actionner pour optimiser cette valorisation ? Décryptage des méthodes et indicateurs essentiels. Les différentes approches de valorisation Il n'existe pas de méthode unique pour valoriser une entreprise. Les spécialistes font généralement appel à plusieurs approches complémentaires : Approche patrimoniale : cette méthode consiste à estimer la valeur des actifs (immobilisations, stocks, trésorerie, etc.) et à en déduire le passif de l'entreprise. Elle permet d'appréhender sa valeur de liquidation. Approche par le rendement : ici, la valeur de l'entreprise est déterminée en fonction de sa capacité bénéficiaire, à travers des indicateurs comme l'EBE ou le résultat net. Cette méthode est particulièrement adaptée aux sociétés pérennes et rentables. Approche mixte : cette méthode combine les deux précédentes en prenant en compte à la fois les actifs tangibles et la valeur actualisée des bénéfices futurs. C'est l'approche la plus fréquemment utilisée pour valoriser les TPE ou PME/PMI. Les indicateurs financiers clés Au-delà de l'approche retenue, les experts se baseront sur une série d'indicateurs financiers pour affiner l'évaluation : Chiffre d'affaires : reflet de la taille et de l'activité de l'entreprise Marge brute et EBE : mesure de la rentabilité opérationnelle Capitaux propres : estimation de la valeur patrimoniale Trésorerie nette : évaluation de la solidité financière Perspectives de croissance : analyse du potentiel de développement La prise en compte des actifs incorporels Dans de nombreux cas, la valeur réelle d'une entreprise réside davantage dans ses actifs immatériels que dans ses seuls actifs corporels. Il sera donc essentiel d'évaluer et de valoriser ces éléments : Marque, image de l'entreprise Savoir-faire, expertise métier Brevets, innovations technologiques Relation clientèle, portefeuille de contrats Ces actifs incorporels peuvent représenter une part prépondérante de la valorisation finale, notamment pour les sociétés positionnées sur des marchés très concurrentiels ou à forte valeur ajoutée. Fort de cette analyse approfondie, vous serez en mesure de déterminer une fourchette de valorisation pertinente pour votre entreprise. Cela vous aidera à négocier le prix de vente de manière éclairée et à obtenir la meilleure contrepartie possible lors de la cession. N'hésitez pas à vous faire accompagner par des consultants en fusions acquisitions pour vous guider dans cette étape cruciale.

bottom of page